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Les cinq plus gros mensonges de la version officielle de l’histoire du coronavirus

Dans cet article, les cinq plus gros mensonges de la version officielle de l’histoire du coronavirus sont tous réfutés un par un.


Mensonge nº 1 : Un coronavirus contagieux aurait provoqué une pandémie mondiale

Fin 2019, la métropole chinoise de Wuhan aurait vu l’émergence d’un coronavirus, soi-disant extrêmement contagieux. Aujourd’hui, soit deux ans plus tard, il n’y a toujours aucune preuve de l’existence de ce prétendu virus. Cela n’est pas trop surprenant, étant donné que l’idée-même de l’existence de virus causant des maladies n’est rien d’autre qu’une théorie, jusqu’à ce jour non démontrée, et ne reposant sur aucune base scientifique bien fondée. Les symptômes attribués à la maladie causée par ce virus fictif sont principalement le résultat de la 5G et autres technologies de réseau wifi, ainsi que de la nano-pollution. De plus, tous les cas de grippe sont maintenant considérés comme des manifestations de cette maladie imaginaire du coronavirus (ou COrona VIrus Disease (COVID) en anglais), ce qui est de la folie pure et simple. Le phénomène que l’on qualifie de grippe n’est rien de plus qu’une solution saisonnière utilisée par le système immunitaire à fins de détoxication.


Mensonge nº 2 : La présence de ce coronavirus non-existant pourrait être établie par un prélèvement sur coton-tige

Le mucus extrait de la cavité nasale ou de la gorge sur un coton-tige ne peut en aucun cas prouver que quelqu’un a le coronavirus pour la simple raison que ce virus fictif n’existe pas. Quiconque obtient un résultat de test positif doit donc considérer ce dépistage comme un « faux positif », ce qui signifie tout simplement qu’il est complètement nul et non avenu. Par conséquent, tous ces individus testés positifs ne nécessitent absolument aucun traitement. Leur mise en quarantaine est effectuée purement pour le spectacle, vu qu’il s’agit d’un non-sens total. Après tout, leur corps physique ne recelait rien de contagieux au moment du test. Ces tests ne détectent rien de plus que la présence de certains débris génétiques découlant du processus de dégradation naturelle des cellules rejetées par le corps humain. Les résultats de ces tests absurdes n’ont donc strictement aucune valeur.


Mensonge nº 3 : Les prétendus vaccins anti-coronavirus vous protègeraient de la maladie

De nouveau, j’insiste sur le fait que le coronavirus n’existe pas. Comme indiqué auparavant, les symptômes attribués à cette maladie fictive sont principalement causés par la 5G et autres technologies de réseau wifi, ainsi que par la nano-pollution, mais également par des facteurs psychologiques, tels que le stress, les angoisses et le sentiment de solitude consécutif à l’isolement social qu’on nous impose. Dans cet article, je ne m’étendrai pas sur le contenu de ces seringues mais il est bien clair qu’aucune injection ne vous protégera d’une maladie causée par des radiations ou par la (nano-)pollution de votre environnement. De plus, la sécurité et l’efficacité de toutes ces injections préventives n’a jamais été scientifiquement prouvée. Ce qui est par contre maintenant clairement établi, c’est que de plus en plus de gens souffrent de dommages corporels graves découlant de ces piqûres imposées (et pour masquer cela, des “variantes” de ce virus non-existant ont étés inventées et désignées par des lettre grecques, telles que Delta ou Omicron). Le nombre des personnes vaccinées souffrant d’une invalidité permanente (y compris l’incapacité d’avoir des enfants) suite à ces injections augmente de manière alarmante, tout comme la cadence des décès. Alors qu’au début de cette plandémie les gens étaient promptement faussement diagnostiqués avec cette maladie imaginaire, aujourd’hui, tous les chiffres sur les symptômes résultant de ces vaccins, notamment la mort, sont soigneusement maintenus hors des rapports officiels. Soit dit en passant, il est incorrect de parler de ces symptômes comme d’effets secondaires, car nous avons bel et bien ici affaire aux effets, tout simplement, de ces piqûres expérimentales. Réfléchissez à cela un instant !


Mensonge nº 4 : Les personnes non-vaccinées répandraient ce coronavirus non-existant

Comment quelqu’un qui a reçu toutes les piqûres prescrites des supposés vaccins anti-corona peut-il encore contracter la soi-disant maladie ? Pratiquement toutes les personnes admises à l’hôpital pour difficultés respiratoires, troubles psychomoteurs, pertes de mémoire, problèmes sanguins, insuffisance cardiaque, ou douleurs inexpliquées, avaient toutes reçu toutes les injections astreintes. Il est par conséquent totalement évident que ces vaccins n’aident en rien à prévenir ces symptômes. Au vu de tout ce qui précède, cela est parfaitement logique car après tout, il n’y a pas du tout de coronavirus, ni de maladie. Par contre, tous les symptômes listés ici sont bien réels. Cependant, aucun d’entre eux n’est le résultat d’une contamination acquise. Finalement, il n’y a rien qui puisse contaminer quiconque, si ce n’est la propagande et les mensonges des médias de masse corrompus et de nos criminelles autorités. Imposer le port de masques chirurgicaux, le maintien d’une distance physique, et toutes les autres mesures restrictives est non seulement insensé mais même contre-productif car tout cela a une influence profondément négative sur les facteurs psychosociaux précédemment cités, et est donc dommageable pour la santé publique !


Mensonge nº 5 : La ségrégation serait nécessaire pour prévenir la propagation

La propagation de ce soi-disant virus ne vient pas des personnes non-vaccinées, comme nous l’avons scientifiquement démontré ci-dessus. Reléguer au rang de citoyen de seconde zone quiconque refuse de se faire injecter ces produits menaçant la survie est un crime contre l’humanité. Il y a environ 80 ans, nous avons pu constater les effets de la ségrégation par le régime fasciste nazi, au sein duquel les personnes non-désirées furent de plus en plus acculées, pour finir par leur retirer tous leurs biens, y compris, dans beaucoup de cas, leur vie. Dans encore bien des pays, « plus jamais ça » reste le message principal du jour de la commémoration annuelle de la fin de la deuxième guerre mondiale. Quelle hypocrisie alors de vouloir aujourd’hui refaire la même chose, exactement de la même manière ! Les premiers camps sont déjà opérationnels.

Plus jamais ça ?

Quiconque possède un minimum d’intelligence sociale est d’accord sur le fait qu’il est inadmissible de discriminer sur la base de la couleur de peau, religion, ou orientation sexuelle. Cependant, les gens qui prennent leur santé extrêmement au sérieux pourraient soudainement être soumis à une discrimination légale ? Sérieusement ? ! Après tout, chacun a le droit de refuser de participer à ce genre d’expérience, comme nous le confirme le code de Nuremberg.

À quel point faut-il être conditionné et mentalement dégénéré pour penser qu’exclure des gens en bonne santé et ne posant aucun risque de contamination pour qui que ce soit puisse être légitime et scientifiquement justifié ? Combien de temps encore devrons-nous supporter cette pure folie ? Quand va-t-on sortir les premières chansons engagées sur le sujet ? Où devons-nous marquer la limite à ne pas franchir ? Combien de temps encore autorisera-t-on les terroristes au pouvoir, par ailleurs payés par les gens qu’ils gouvernent, à poursuivre ce programme de dépopulation ? Et ceci n’est aucunement une invraisemblable théorie du complot, puisque les faits nous prouvent au quotidien que cela est devenu notre triste réalité. Chaque jour qui passe voit une augmentation du nombre de victimes civiles dans cette guerre menée contre le peuple.

Ce qui se déroule depuis 2020 sous couvert de bataille contre une pandémie non-existante est le plus grand crime contre l’humanité de tous les temps. Beaucoup de criminels de guerre nazis ont échappé à leur condamnation au milieu du siècle dernier en se réfugiant par exemple en Amérique du Sud. Pour tous les criminels de la guerre actuellement menée par les gouvernements contre leurs populations, il n’y aura aucun pays où s’enfuir. Dans chaque état, tous les responsables de ces mesures illégales et scientifiquement non-fondées sont d’ores et déjà répertoriés. Ces criminels travaillent entre autres dans la fonction publique à tous les niveaux, dans les soi-disant « services de santé », la justice et la police, les médias de masse responsables du lavage de cerveau général, l’industrie pharmaceutique et nombre d’organisations non-gouvernementales. Quoi qu’il arrive, tous ces fonctionnaires corrompus seront inculpés de complicité de meurtre en masse (voire de génocide) prémédité. Ils recevront alors, tous sans exception, la condamnation qu’ils méritent.

Fort heureusement, ces maniaques avides de pouvoir qui nous ont concocté tout cela ont commis une grossière erreur de raisonnement. Au vu de toutes ces victimes d’injections librement acceptées, le groupe de gens dociles ne va aller qu’en diminuant, alors que le nombre de résistants ne fera qu’augmenter, aussi bien en valeur relative qu’en valeur absolue. Chaque jour, de plus en plus de gens réalisent que les marionnettes qui les gouvernent, ainsi que leurs corrompus experts en contrefaçon, leur ont menti. La vérité finit toujours par prévaloir. C’est un fait. Et cette vérité, dans tous les cas, mettra en lumière les cinq mensonges énumérés dans cet article de manière on ne peut plus évidente, pour tous ceux qui n’ont pas pu encore se libérer de leur lavage de cerveau.

Voulez-vous contribuer à accélérer le triomphe de la vérité en partageant cet article avec toutes les personnes qui croient encore à un ou plusieurs des mensonges susmentionnés ? D’avance, je tiens à vous en remercier de tout mon cœur !

Dr. Johan Oldenkamp
chercheur polyvalent
à ce jour auteur de 56 livres, traitant ente autres de santé naturelle


Cette nouvelle, écrite à l’origine le mardi 7 décembre 2021 par Johan Oldenkamp, est également disponible en anglais, espagnol, allemand, italien et néerlandais.

© Pateo.NL : Cette page a été mise à jour le 2021/12/18.